Un peu trop de dentelle chez le Tricolore | Only Sports And Health

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ELMONT | Les Islanders n’ont rien fait de bien sorcier pour garder les joueurs du Canadien loin de Semyon Varlamov. Une combativité hors du commun en zone neutre a grandement compliqué les tentatives de poussée du Tricolore.

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« C’est une équipe qui ne prend pas beaucoup de risques. De notre côté, on essayait de faire des choses trop cutes à travers la zone neutre », a déclaré Martin St-Louis au terme de ce revers en prolongation.

De sa position sur la patinoire, Samuel Montembeault a fait une lecture identique à celle de son entraîneur.

« On essayait des jeux trop compliqués. C’est une équipe qui joue tellement bien en unité de cinq et qui applique tellement de pression en repli défensif, a analysé le gardien du Canadien. Le résultat, c’est qu’on se faisait couper des jeux et ils se regroupaient rapidement pour revenir de notre côté. »

Borné pendant 40 minutes

Limiter les risques, mettre la pédale au plancher pour revenir aider ses défenseurs, c’est pas mal la définition d’une équipe qui se bat pour sa survie. Et en coupant la zone neutre, les Islanders ont enlevé au Tricolore l’une de ses principales armes : sa vitesse.

« On n’avait pas notre balle rapide, ce soir, a indiqué l’entraîneur-chef. Les Islanders jouent avec beaucoup d’urgence. On n’a pas été en mesure de niveler ça pendant une bonne partie du match. »

« En troisième période, on a gardé ça plus simple. On a envoyé beaucoup de rondelles profondément dans leur territoire. On a été intense sur l’échec avant, ce qui nous a permis d’amener ce match en prolongation. »

Bien réagir maintenant

Les différents intervenants rencontrés dans le vestiaire du Canadien s’accordaient pour dire que l’équipe n’avait pas été capable de niveler le niveau d’intensité des Islanders.

Une réalité que Mike Matheson ne voyait pas d’un très bon œil.

« Si on veut se rendre dans les mêmes classements que ces équipes-là l’an prochain et réagir de la bonne façon quand ça comptera vraiment, il faut s’habituer à jouer ces matchs maintenant », a martelé le défenseur.

Lundi et mardi, face aux Red Wings, le Canadien aura deux occasions de le faire. Mais avant, les Montréalais ont rendez-vous avec les Sénateurs, samedi soir, à Ottawa.

Un match de quatre points pour le bas du classement, diront certains.



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